logement
By Adrien VICENTE Paris (AFP) - A un mois des Jeux olympiques de Paris, des habitants qui pensaient arrondir leurs fins de mois d'été en louant leur logement à prix d'or aux touristes déchantent, et baissent leurs tarifs ou lâchent carrément l'affaire. "On se voyait déjà avec des liasses de billets pour partir en vacances", s'esclaffe Giulia. Mais cette Parisienne de 28 ans, qui a mis son appartement en location sur Airbnb pour les JO, n'a pas vu tomber la lucrative réservation. En janvier, cette salariée d'un groupe immobilier, qui habite dans un quartier populaire du 18e arrondissement, au n...
AFP (Français)
By Séverine ROUBY Paris (AFP) - Les propriétaires de logements à Paris qui espéraient toucher le jackpot pendant les Jeux olympiques ont dû revoir leurs ambitions face à la multiplication des annonces, même si les prix restent plus élevés qu'en temps normal. Victor Aussal, 28 ans, et sa copine propriétaire d'un 40 m2 à la Goutte d'Or, quartier populaire du nord de Paris, voulaient profiter des JO pour louer leur deux pièces à 280 euros la nuit et voyager en Asie pendant un mois. Mais depuis six mois "toujours aucun locataire, aucune demande. Je pense qu'on va redescendre au prix du marché voir...
AFP (Français)
Paris (AFP) - Le nombre de jeunes adultes hébergés chez leurs parents, principalement des étudiants, a augmenté de 250.000 entre 2013 et 2020, un retour des "Tanguy" symptôme de la crise du logement, selon une étude de la Fondation Abbé Pierre (FAP) publiée jeudi. Environ 4,92 millions d'adultes vivaient chez leurs parents en 2020 contre 4,67 millions en 2013, en majorité des 18-24 ans (+13,5%), selon la dernière enquête de la FAP "Les +Tanguy+: le retour", référence à la comédie éponyme d'Etienne Chatiliez sortie en 2001 narrant la cohabitation explosive d'un couple avec leur fils presque tre...
AFP (Français)
By Daniel HOFFMAN, Anne-Sophie LABADIE Paris (AFP) - Installée dans un bidonville en Seine-Saint-Denis, Cristina (prénom modifié) doit marcher plusieurs kilomètres pour avoir accès à de l'eau potable. Comme de nombreux sites d'habitat précaire franciliens, le terrain où résident la jeune femme, son mari et leurs deux enfants de 10 mois et six ans, aux côtés d'une vingtaine d'autres habitants, n'est pas relié au réseau de distribution d'eau. "Je vais à pied jusqu'au cimetière ou au stade, trois à quatre fois par jour" pour remplir des bidons de 20 litres que se partagent plusieurs familles, déc...
AFP (Français)
閲覧を続けるには、ノアドット株式会社が「プライバシーポリシー」に定める「アクセスデータ」を取得することを含む「nor.利用規約」に同意する必要があります。
「これは何?」という方はこちら