X finance un procès contre Block de Jack Dorsey pour défendre la “liberté d’expression”

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Tl;dr

  • Chloe Happe déplore un licenciement abusif de la part de Block.
  • Elle affirme avoir été renvoyée pour des messages sur un compte anonyme.
  • Elon Musk soutient la cause de Happe, comme d’autres personnes bafouées.
  • Happe demande sa réintégration chez Block et des dommages et intérêts.

Droits d’expression employés versus politiques d’entreprise : une affaire qui fait grand bruit

Chloe Happe, ancienne employée de l’entreprise Block, fondée par Jack Dorsey – également fondateur de Twitter, se retrouve au cœur d’une affaire qui relance le débat sur les droits des employés à exprimer librement leurs opinions en dehors du temps de travail.

Happe deux publications sur un compte anonyme

Mme Happe accuse Block de l’avoir licenciée sans aucune indemnité en représailles suite à deux publications qu’elle avait faites sur son compte anonyme, en dehors de ses heures de travail. Elle mentionne un post sur les réfugiés de Gaza et un autre utilisant un langage inapproprié. Néanmoins, Chloe a souligné que “elle exprime ses opinions politiques, ses points de vue ou croyances sous forme de satire”.

X soutient la cause de Happe

La figure emblématique d’X, Elon Musk, a récemment tweeté son soutien à Happe, affichant clairement sa position en faveur de la liberté d’expression. En effet, X, l’entreprise de Musk, a financé d’autres plaintes en vertu du “droit à la parole libre”, y compris celle de Gina Carano contre Lucasfilm et Disney.

Happe exige une réparation de dommages et sa réintégration

Chloe Happe, de son côté, demande à être réintégrée chez Block et réclame des dommages et intérêts compensatoires, y compris pour la perte de salaire résultant de son licenciement.

Ces évènements mettent en exergue la tension croissante entre la liberté d’expression individuelle et les politiques d’entreprise. Cette bataille judiciaire pourrait se révéler être un jalon significatif dans la redéfinition de ces frontières.

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