Tl;dr
- X rechange sa politique et offre des coches bleues gratuites.
- Elon Musk a racheté X, anciennement Twitter.
- X propose maintenant trois formules d’abonnement.
- Le réseau social s’efforce de lutter contre les faux comptes.
Politique inversée sur le réseau social X
Le réseau social X, jadis Twitter, vient de mettre à jour sa politique concernant les prestigieux “coches bleues” accordés aux comptes influents. Suite à son acquisition par Elon Musk, la plateforme a connu plusieurs “volte-face” dans sa stratégie de certification des utilisateurs.
Des coches bleues pour les membres influents
Auparavant, ces badges étaient utilisés pour authentifier les comptes de personnalités publiques notoires. Musk avait jugé ce système injuste pour les utilisateurs moins connus, rendant alors ces badges accessibles à tous, à condition de souscrire à un abonnement mensuel.
Un changement qui a dépossédé de nombreux comptes de cette reconnaissance. Désormais, les utilisateurs ayant un grand nombre d’abonnés sur X recevront un abonnement gratuit au service Premium de la plate-forme, ainsi que la fameuse coche bleue.
La structure d’abonnement remaniée de X
Il faut rappeler que depuis la fin de 2023, X propose trois formules d’abonnement : Basic, Premium et Premium+, à des prix distinctifs. L’offre la plus économique inclut des outils d’édition de base et l’authentification à deux facteurs.
En revanche, l’abonnement Premium offre des outils supplémentaires pour les créateurs, l’accès à Grok, le chatbot d’intelligence artificielle de X et surtout la coche bleue.
Une lutte contre les faux comptes
Suite à sa reprise, le réseau social a connu une baisse flagrante de son activité publicitaire, crucial pour sa survie. Afin de boire cette dynamique, Musk a annoncé des mesures drastiques pour redynamiser la plateforme. X a nommé Kylie McRoberts, une vétéran du groupe, responsable de la sécurité et de la lutte contre les comportements frauduleux.
M. Musk a également lancé une “purge des trolls et des comptes automatisés”. Cependant, il reste encore du travail pour maitriser l’activité des comptes automatisés diffusant à grande échelle des messages non sollicités.
