Verdict rendu près de 2 ans après la tragédie du tournage du film d’Alec Baldwin, “Rust”

Dr Death

Tl;dr

  • Verdict majeur dans le procès du tournage de Rust.
  • Hannah Gutierrez-Reed condamnée à 18 mois de prison pour homicide involontaire.
  • Incident tragique sur le plateau en 2021 impliquant Alec Baldwin.
  • Potentielle implication de cette sentence sur l’éventuelle condamnation de Baldwin.

Verdict majeur dans le procès du tournage de Rust

Le procès du tournage tragique du film Rust avec Alec Baldwin en 2021 a abouti à un verdict majeur près de deux ans après l’incident. Un drame survenu sur le plateau en Nouveau-Mexique, lorsqu’une arme factice chargée par l’armurière Hannah Gutierrez-Reed et donnée à l’acteur Alec Baldwin a accidentellement tiré une vraie balle, tuant la directrice de la photographie Halyna Hutchins et blessant le réalisateur Joel Souza.

La condamnation de Gutierrez-Reed et ses implications

Selon le rapport The Hollywood Reporter, Gutierrez-Reed a été condamnée à 18 mois de prison pour homicide involontaire. Cette sentence, prononcée par la juge Mary Sommer de Santa Fe, fait suite à la culpabilité prononcée par le jury, faisant d’elle le premier membre de l’équipe de Rust à être reconnu coupable dans cet accident. Cette condamnation pourrait potentiellement préfigurer celle de Baldwin s’il est reconnu coupable.

Le procès de Baldwin à venir

De son côté, Baldwin a également été inculpé d’homicide involontaire et son procès est prévu pour juillet. L’accusation prétend que l’acteur a mis d’autres personnes en danger en sautant la formation initiale sur les armes à feu et aurait été “distract” lors d’une session de formation ultérieure. Il est également reproché à l’acteur d’avoir engagé une armurière inexpérimentée en la personne de Gutierrez-Reed et d’avoir appuyé sur la détente alors que la scène ne nécessitait que de sortir l’arme de son étui.

On en pense quoi ?

Le verdict de ce procès soulève des questions cruciales sur la sécurité sur les plateaux de tournage. L’industrie cinématographique doit revoir ses normes pour éviter de tels drames à l’avenir. La responsabilité ne repose pas uniquement sur Baldwin ou Gutierrez-Reed, mais sur l’ensemble des acteurs de la production. Il est temps de réformer les pratiques et d’insister sur la formation et la sécurité adéquate pour tous.

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