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Tl;dr
- Des dizaines d’otages sont actuellement retenus à Gaza
- Israël refuse un cessez-le-feu permanent sans accord préalable
- L’équipe de négociation soutient le plan Biden, en attente de l’accord du gouvernement
- En cas d’échec des négociations, Tsahal continuera de combattre
La situation critique à Gaza
Selon un haut dirigeant israélien impliqué dans les négociations pour la libération des otages, l’on compte encore des dizaines de détenus en territoire palestinien. Il a déclaré à l’AFP, sous couvert d’anonymat : “Des dizaines d’otages sont en vie de façon certaine”, soulignant l’urgence d’agir au vu de la situation précaire.
Refus d’Israël d’un cessez-le-feu immédiat
Lors des négociations avec le groupe Hamas, Israël a explicitement refusé de conclure un cessez-le-feu “à ce stade – avant de signer un accord”.
Ce dirigeant anonyme révèle que “Nous ne pouvons pas les laisser là-bas longtemps, ils vont mourir”, reflétant ainsi l’état critique des otages.
Le Plan Biden: espoir ou illusion?
Dans ce contexte, l’administration américaine, par le biais du “plan Biden” a été évoquée. L’équipe des négociateurs israéliens a donné son feu vert, mais attend encore l’acceptation du gouvernement israélien.
Le dirigeant a annoncé avec espoir : “Nous espérons et attendons que le Hamas dise oui”. Cependant, le Hamas continue d’exiger un cessez-le-feu avant tout accord.
Des conséquences potentiellement dramatiques
Si les négociations échouent, l’armée israélienne (Tsahal) intensifiera ses opérations dans la bande de Gaza.
Le haut responsable en a même donné une garantie : “Dans le cas où nous ne parviendrions pas à un accord avec le Hamas, Tsahal continuera de se battre avec pas moins de force qu’actuellement”. Depuis le 7 octobre, 41 personnes ont perdu la vie et 116 autres sont toujours détenues à Gaza, illustrant la gravité de la crise.