Fin programmée pour le programme Sony Rewards

Sony

Tl;dr

  • Sony met fin à son programme de récompenses.
  • Le site web et l’application Sony Rewards s’arrêtent le 31 décembre 2024.
  • Les membres existants peuvent encore utiliser leurs points jusqu’à cette date.
  • Le service clientèle de Sony Rewards cesse le 14 février 2025.

L’éclipse du programme de récompenses Sony

La renommée mondiale du groupe Sony ne le met pas à l’abri des décisions drastiques. L’entreprise japonaise a récemment annoncé qu’elle mettrait un terme à son programme de récompenses à la fin de l’année 2024, laissant ses membres fidèles sur leur faim.

Une fermeture progressive

Selon les informations mises à jour sur les pages FAQ et Conditions générales, le site web et l’application Sony Rewards cesseront d’exister le 31 décembre 2024. Les inscriptions de nouveaux membres sont d’ores et déjà fermées.

Cependant, les détenteurs actuels de cartes Sony et PlayStation pourront continuer à “échanger des points, accéder à leur compte et soumettre des formulaires de demande de bonus et de crédit d’achat via l’application jusqu’à la Saint-Sylvestre”. Le bémol étant qu’ils ne pourront plus envoyer de points bonus physiques et de points de demande de crédit par courrier après le 21 juillet.

Une cessation totale en 2025

L’arrêt se fera en douceur, les membres pourront toujours utiliser leurs points jusqu’au 31 décembre 2024, mais après cette date, il n’y aura plus de bénéfices à retirer. Les comptes ne seront plus liés au Sony Store ou à Movies Anywhere. Tout service client lié à Sony Rewards cessera de fonctionner le 14 février 2025.

Sony Rewards, un programme fidélité à défaut

Lancé en 2017, le programme Sony Rewards permettait d’accumuler des points pour les détenteurs de cartes Sony ou PlayStation. Ces points étaient ensuite échangeables contre des articles de la marque Sony uniquement. Malgré un attrait certain pour les jeux PlayStation, le programme a subi des critiques liées à sa rigidité et aux taux d’intérêt élevés associés aux achats.

Lire la source


A lire aussi