Angleterre : un village assiégé par des poulets sauvages “incontrôlables”

ADN

Tl;dr

  • Des poulets sauvages envahissent Snettisham, au Royaume-Uni.
  • Ces volatiles nuisent à la vie des résidents locaux.
  • Certaines personnes apprécient néanmoins leur présence pour le “charme rural”.
  • Des mesures sont envisagées pour gérer la situation.

Une invasion de poulets sauvages perturbe Snettisham

Face à une véritable invasion dans la petite commune de Snettisham, Royaume-Uni, les poulets sauvages semblent avoir pris le dessus. Leur présence croissante perturbe fortement le quotidien des habitants, au point de transformer leur vie en véritable calvaire.

Des nuisances multiples pour les riverains

Alors que ces volatiles attirent un certain nombre de visiteurs, ceux-ci contribuent parfois involontairement à l’accroissement du problème. Par exemple, un individu est allé jusqu’à “laisser aux poulets près d’un kilo de crevettes”, geste qui, loin d’être anodin, a boosté la population de rats locale, engendrant un risque sanitaire.

Autre nuisance à déplorer, les gloussements matinaux des volatiles qui obligent certains riverains à dormir avec des bouchons d’oreille. Certains jardins sont également victimes du vandalisme naturel des poules. Un résident a témoigné auprès du Daily Mail : “Ils sont hors de contrôle.”

Un charme rural plébiscité par certains

Toutefois, malgré l’ampleur de ces nuisances, certains habitants sont d’un avis différent et estiment que ces poulets apportent plutôt un charme rural à Snettisham. Ainsi, un promeneur a déclaré bien accepter leur présence et même les accueillir dans son jardin.

Toutefois, il condamne la plainte de certains résidents récents en affirmant que : “il se passe des choses plus importantes dans le monde que quelques poules.”

Des mesures en discussion pour gérer la situation

Face à cette situation atypique, le conseil paroissial de Snettisham a décidé de prendre le taureau par les cornes.

Au menu des prochaines mesures envisagées, l’installation de panneaux pour dissuader les passants de nourrir les poulets ainsi qu’une possible collaboration avec un spécialiste des oiseaux et une association qui pourrait prendre en charge les volatiles. La cohabitation entre humains et poulets semble donc encore loin d’une solution unanime.

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